Gregoire Owona, SGA du Rdpc

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RÉPONSE AU MINISTRE GRÉGOIRE OWONA EN LARME: Quand la peur change de camp

Excellence Monsieur le Ministre,

Merci pour cette sortie précipitée, qui démontre une fois encore que le professeur Maurice Kamto n’est pas un candidat comme les autres. Il est le seul qui trouble votre sommeil, occupe vos réunions secrètes, réunit vos experts du chaos et mobilise vos énergies les plus noires depuis 2018.

Vous venez, une fois de plus, de dévoiler le fond de votre pensée, et avec elle, le fond du régime auquel vous appartenez.

Le RDPC a vu passer toutes les candidatures dans le silence et l’indifférence totale… sauf une : celle du professeur Maurice KAMTO. Et là, soudain, on sort du mutisme. On crie, on tremble, on insulte… Pourquoi ? Depuis 2018, il suffit qu’on prononce le nom KAMTO pour que votre clavier s’enflamme, vos nefs s’agitent, vos émotions débordent. Pourquoi ? Parce qu’un homme, debout, seul contre votre système tentaculaire, a osé poser sa candidature — légalement, paisiblement, massivement soutenu par le peuple

Parce que la peur a changé de camp.

Vous parlez d’association contre nature” ?Non, monsieur le ministre. Ce qui est contre nature, c’est qu’un homme de 92 ans, disparu de la scène publique, incapable de tenir un stylo ou d’aligner une phrase en direct, dont le seul programme politique aujourd’hui est sa capacité à se mettre debout, soit présenté comme le seul homme capable de “sauver” le Cameroun.
Ce qui est contre nature, c’est une République aux mains de ceux qui préfèrent des photos aux idées, des fantômes aux projets, des slogans aux convictions. Ce qui est contre nature c’est d’appeler les camerounais à voter la photo de Paul Biya alors que ce patriarche ne demande qu’à aller se reposer en paix.

Et votre sortie pathétique sur le “pape du droit” qui ne serait plus en mesure de candidater avec le MRC ?
Monsieur le ministre, le professeur KAMTO vous a pris à votre propre piège.
Pendant que vous montiez des barricades juridiques, il dessinait des tunnels stratégiques.
Pendant que vous verrouilliez les portes, il ouvrait des fenêtres constitutionnelles.

Et puis, le clou de votre message : « Attention, ce n’est pas fini. »

Qu’est-ce que cela signifie, monsieur le ministre ? Une menace ? Une intimidation ? Un aveu de sabotage programmé ?

Seriez-vous en train de nous annoncer que la suite du processus électoral est déjà trafiquée ? Que le Conseil Constitutionnel, votre antichambre politique, n’aura qu’à réciter un scénario écrit depuis le Palais ?
Ou bien que vous préparez une disqualification sur mesure, parce que vous ne savez plus comment affronter un homme debout, sans armes ni privilèges, mais armé du droit et soutenu par le peuple ?

Oui, monsieur le ministre Grégoire Owona
Ce n’est pas fini.
Mais ce ne sera pas comme vous l’aviez prévu.
Ce n’est pas une menace. C’est une promesse.

Car quand l’intelligence défie l’arrogance, quand la stratégie déjoue la brutalité,
et que la volonté populaire déborde les verrous institutionnels, alors le changement ne demande plus la permission. Il s’impose.

Rira bien, monsieur le ministre, qui rira le dernier.

Source Facebook: Alex KAMTA L’usurpateur

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