Djaïli Amadou Amal : « La littérature m’a sauvé la vie »

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Djaïli Amadou Amal : « La littérature m’a sauvé la vie » et le courage de dire des choses. Le Cameroun tient peut-être son prix Goncourt. L’espoir repose sur le roman de Djaïli Amadou Amal, Les impatientes (Emmanuelle Collas), finaliste de l’édition 2020 de la prestigieuse distinction littéraire. Le jury de l’académie Goncourt va se réunir ce lundi 30 novembre pour choisir le vainqueur sur une liste de quatre finalistes.

La Camerounaise est plutôt bien partie. Son roman a été bien accueilli par la critique qui salue à la quasi-unanimité une écriture puissante et engagée sur une problématique actuelle : les violences faites aux femmes. Un sujet à la fois personnel pour cette dame mariée de force à 17 ans, mais surtout d’intérêt général quand on connaît les ravages des mariages précoces et des violences conjugales au Cameroun, en Afrique et même partout dans le monde.

Les impatientes, originalement intitulé Munyal était décidément promis à un grand destin ; ce roman avait déjà remporté la première édition du Prix Orange du livre africain en 2019 avant sa réédition en France. Depuis Paris où elle se trouve depuis quelques semaines dans l’attente de « son » prix, Djaïli Amadou Amal a trouvé du temps entre de multiples sollicitations pour accorder une interview à Naja Tv. Bonne chance…

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